Versla fin du repas, le maître et la maîtresse d’école, suivis des garçons et des fillettes du village, venaient se présenter devant les convives et lisaient un compliment au seigneur de Montragoux et à ses hôtes. Un astrologue en bonnet pointu s’approchait des dames et leur annonçait leurs amours futures sur la vue des lignes de leur main. La Barbe-Bleue faisait donner à boire LaDernière Série avant la Fin du Monde arrive demain sur la toile, mais de quoi ça s’agit ?. Le monde nous l’envie. Le Dernier bar avant la Lessprinteurs se sont donc retrouvés en échec au terme de cette étape qui représentait la dernière possibilité d'un sprint massif avant la fin du Tour, dimanche à Vérone. De Bondt (30 ans), qui participe pour la deuxième fois au Giro, a signé la 6e victoire de sa carrière, la première dans un grand tour. Publiéle 30/05/2019. Un chercheur allemand a réalisé une étude sur l'histoire de la pomme et son évolution. Il montre que les pommiers se sont répandus d'abord grâce à la mégafaune qui Pourle "après", je m'attends à la même sorte de réaction que la dernière fois, c'est-à-dire les deux ou trois jours suivant la séance avec une enflure rouge généralisée dans le visage recouverte de boutons, qui va s'estomper petit à petit d'ici une semaine environ. Bref, pas agréable, mais pas la fin du monde non plus. Enmême temps que le soleil, c’est mon cœur qui pleure des larmes de sang. C’en est fini. Tout est fini. Et pourtant, mes frères, pour vous tout commence. Gardez en votre cœur l’espoir de vos ancêtres. Naissez, vivez, mourez mais guettez le jour où le soleil étendra ses vives lueurs sur vos têtes. M8xVE. ForumsDiversLa TaverneLe dernier bar avant la fin du monde Bonjour, je ne suis pas sûre d'être dans la bonne section mais spa grave on va tenter le coup. Le dernier bar avant la fin du monde c'est son nom est un bar dit geek, axé apparemment sur les jeux vidéo etc. Son site internet Il se situe pas loin de châtelet sur Paris et du coup j'aimerais savoir si vous y avez déjà mis les pieds et quels retours vous en feriez ? J'aimerais bien aller là bas sous peu histoire de voir par moi même mais j'aimerais savoir à quoi m'attendre ! Merci à vous ! 25/07/2012, 16h46 Ca a l'air marrant, j'aimerais bien lire des retours également ^^ 25/07/2012, 16h49 Le thème fait un peu peur pour un bar Jamais vu/allé par contre, même si c'est sur mon chemin à une rue près pour aller au taf. C'est un peu glauque comme coin je trouve pour un bar. EDIT ha bah si c'est de 2012 normal que je l'aie encore jamais "croisé". 25/07/2012, 16h49 J'ai eu des retours indirects, apparemment c'est pas top top. Ca vaut ce que ça vaut ~~ 25/07/2012, 16h52 Publié par huhuh J'ai eu des retours indirects, apparemment c'est pas top top. Ca vaut ce que ça vaut ~~ Ils sont en béta 25/07/2012, 16h56 Publié par [LCA]Shugga Le thème fait un peu peur pour un bar C'est inspiré d'un bouquin connu 25/07/2012, 16h57 Dernière modification par Maluka ; 25/07/2012 à 18h14. 25/07/2012, 17h00 Dernière modification par Fio' ; 25/07/2012 à 17h25. 25/07/2012, 17h07 J'y suis aller lors de deux occasions, la première c'était pour une séance de dédicace, j'ai juste pu admirer la salle, la carte et prendre une "brochette". La seconde occasion, je crois qu'il y avait une autre séance de dédicace couplé à la venue de notre cher Odessa aka Le joueur du grenier. Il y avait tellement de monde que c'était invivable. J'y retournerais sûrement quand ils auront ouvert les autres étages "a thèmes", j'ai au moins envie de tester leur cocktails aux noms geek le 42, Fulguro poings, etc.... C'est bien la seule différence que j'ai pu noté par rapport a un bar classique le nom des consommations, mis à part la décoration ambiante qui elle est bien geek. Pour l'instant je n'ai pas encore remarquer l'atmosphère geek dans la salle Jeux de plateaux, Discussions geek, etc mais j'étais peut être tombé au mauvais moment! 25/07/2012, 17h10 J'ai voulu y aller y'a pas très longtemps 8juillet en fait mais il y avait la queue pour rentrer, donc j'ai laissé tomber. J'y suis repassé un peu plus tard voir l'ambiance vers 1h30 mais j'ai été un peu déçu. Une salle sympa en haut, pleine sans être blindée, l'air agréable. Par contre en bas une salle + futuriste mais complètement dénudée en terme de décors était vide et une autre pas encore ouverte. Fun fact, tu peux jouer avec ton pipi, y'a des capteurs dans les urinoirs et un écran vidéo avec des jeux qui réagissent à ton jet d'urine . Pour le coup en dehors d'un peu de déco, le bar avait rien de particulier. J'ai pas fait gaffe si la carte valait le détour. 25/07/2012, 17h55 Voyons... Déjà, d’après mes sources sures issues de rolistes GNiste et autres nerds au dernier stade, les mecs à l'origine de ce bar sont respectivement le fondateur de Kaze et Animeland et le directeur de la programmation de la japan expo, donc vous voyez le topo de base. Les petites impressions après quelques visites -C'est clairement victime de son succès, le bar est constamment blindé en soirée, le seul moment où c'est sympa de se poser c'est l'aprem, et encore, faut se lever tot pour espérer avoir un fauteuil dans le chouette espace bibliothèque. -Ya des jeux en libre service et des bouquins à lire généralement que le tome 1 Je suis pas sure que les gens en profitent beaucoup vu le taux de squattage. -Je suis vraiment pas convaincue par la carte des cocktail, certes, ils ont des noms roxxants, mais ils sont chers 10 euros en moyenne et avec un peu trop d'ingrédients exotique pour moi... et pourtant, je suis fan de truc chelou a avaler. Sinon, si vous voulez juste un coca ou une pinte, les prix sont corrects rappel, le bar est VRAIMENT dans le centre de Paris, plus parisien, tu ne PEUX PAS faire. Donc niveau prix dans le quartier, faut s'accrocher. Ya aussi de quoi manger, du grignotage, des glaces, mais ils sont vite a court de nachos. -Ils ont du tru blood, j'ai acheté ca rien que pour la bouteille, ça a le gout d'orangina rouge light...mais j'ai une bouteille de tru blood maintenant. -Tout ceux qui y bossent ont tous clairement un coté geek mais je suis pas convaincue de leur xp en bar/restauration. -La deco déboite clairement, mention speciale aux chiottes pour mecs qui ont des pipi game. Ils devraient y avoir des salles en sous sol et a l'etage avec des thèmes fantasy ou SF mais bon, c'est a venir, le bar est pas fini. Comme ils le disent, le bar est en beta, donc, ya beaucoup de trucs qui posent problème, j’espère qu'il y aura des patch d'ici peu. Pour l'instant, c'est cool en aprem, mais en soirée, non, ya vraiment trop de monde Sans compter qu'ils font vraiment de la pub pour ce bar partout sur le net et les forums donc ca va pas arranger les choses niveau frequentation quelques tofs pour donner une idée du bouzin Non, elles sont pas de moi. Dernière modification par Compte 106873 ; 25/07/2012 à 18h56. 25/07/2012, 18h06 Publié par Maluka Sans compter qu'ils font vraiment de la pub pour ce bar partout sur le net et les forums donc ca va pas arranger les choses niveau frequentation C'est exactement ça. J'espère que ça leur nuira pas sur le long terme. 25/07/2012, 18h25 Publié par Maluka Sans compter qu'ils font vraiment de la pub pour ce bar partout sur le net et les forums donc ca va pas arranger les choses niveau frequentation Je reviens de l'Agora, il parait que la fin du monde va arriver plus vite que prévu, du coup tout le monde se dépêche 25/07/2012, 18h25 Publié par Typhus Je reviens de l'Agora, il parait que la fin du monde va arriver plus vite que prévu, du coup tout le monde se dépêche Faudra pas oublier la serviette alors. 25/07/2012, 18h27 C'est typiquement le style que j'aime,le coin bibliothèque est juste magnifique... Fu Paris 25/07/2012, 18h53 Est-ce qu'ils servent de la bière La fin du monde au moins ? 25/07/2012, 19h29 Bon bha des avis partagés, c'est fun tout ça mes enfants... Vous allez me traiter de chieuse mais j'irai y faire un tour demain pour voir par moi même et vous prendre des photos. c'est d’intérêt public je sais je sais J'essaierai d'y aller dans l'après midi et dans la soirée, même si en bonne geek j'ai un peu la trouille de ce qui pourrait s'mettre là le soir... Aller, enjoy Paris. 25/07/2012, 19h40 Publié par Dilynrae Bon bha des avis partagés, c'est fun tout ça mes enfants... Vous allez me traiter de chieuse mais j'irai y faire un tour demain pour voir par moi même et vous prendre des photos. c'est d’intérêt public je sais je sais J'essaierai d'y aller dans l'après midi et dans la soirée, même si en bonne geek j'ai un peu la trouille de ce qui pourrait s'mettre là le soir... Aller, enjoy Paris. Bah, si ya bien un endroit où une fille est en sécurité, c'est dans un entourage de geek Si t'as de la chance, tu tomberas sur des vaporistes en full costume mais vu la chaleur, j'ai des doutes 25/07/2012, 19h50 Un avis que je rejoins entièrement d'une personne que je connais parfaitement Geek, ancienne tare, est devenu quelque chose, ou quelqu'un, de terriblement bien en vu, à la mode. C'est très porteur. Et le concept du bar repose là-dessus proposer quelque chose d'adapté, de familier, à une communauté qui est mal servie mais qui est devenue extrêmement populaire. Le patron surfe donc sur cette vague. Et d'un point de vue commercial, vouloir fédérer cette communauté extrêmement en vogue, c'est très malin. Maintenant pour parler du bar en lui-même... Côté déco on tend vers un produit à l'ambiance cosy avec gros fauteuil club et banquettes, bibliothèque en bois vernis etc etc et à côté de cela des éléments assez en décalage, avec une vitrine de figurines, une horloge digitale et une drôle de peinture pour aller aux WC. La terrasse est excessivement banale, celle de n'importe quel rade basique. Côté service c'est assez...débutant. Les serveurs semblent être très peu familière de la carte. Celle-ci, très fournie et avec des noms "à référence" est à peu près fournie et propose un choix assez varié. Côté ambiance, en dehors de la déco, on a plusieurs jeux de société et des livres à dispositions. Avec la déco cosy on tombe donc dans style de café bibliothèque/jeux. Le problème c'est qu'il faut étoffer un peu de ce côté là pour que cela devienne intéressant. Entre la déco et les références on tombe un peu dans une sorte de mélange. C'est assez disparate. J'ai un peu l'impression qu'ils ont voulu ratisser large. Mais on passe du bar standard cossu à la bibliothèque et la salle de jeux, cela peut être un peu paradoxal l'excitation du jeu vs le calme de la lecture. A voir même s'il y a de bonnes idées et que j'apprécie les cafés littéraires. Du côté de la politique tarifaire...On part sur des boissons standards à des prix moyens. Par contre dès que l'on part dans du cocktail les prix tendent à s'envoler. Et on arrive même dans quelque chose de complètement excessif. Les cocktails tournent quasi tous dans les 10-12€ ce qui est déjà assez cher pour Paris. Des cocktails à ce tarif correspondent généralement à un service et un décor qui sont bien au-dessus de ce qui est proposé au Dernier Bar ainsi que la qualité du cocktail qui n'est pas la même. Bref je suis mitigé. Il y a des choses que j'apprécie dans ce bar mais j'ai quand même l'impression qu'on essaie de faire passer certains trucs sur le dos du geek. Mais bon, il est quasi indéniable que cela va super bien marcher bonjour l'aveuglement du communautarisme. 26/07/2012, 01h31 Le coin bibliothèque est sympa pour se poser quand ce n'est pas blindé, y'a plus ou moins d'efforts sur la déco dans le reste du bar mais le point noir c'est la carte, vu le publique visé je me demande si les prix sont justes, lâcher 10/15€ pour une conso dans un bar ambiance geek j'ai un doute à moins qu'ils recrutent des hôtesses , passé la curiosité vu le fric claqué ça va être dur de rentabiliser en servant des cafés et des demis. 26/07/2012, 01h57 Bah le prix des cocktails est juste aberrant pour la prestation. 26/07/2012, 02h23 Publié par Maluka fondateur de Kaze Ah, bah ça explique tout alors. 26/07/2012, 02h31 Même si il parait rebutant au premier abord, il parait que le Kawaii Café est très bien lui. Bonne ambiance, bons prix, bon délire. 26/07/2012, 07h55 Publié par Maluka Bah, si ya bien un endroit où une fille est en sécurité, c'est dans un entourage de geek Pas forcément, t'en as des bien bizarres aussi 26/07/2012, 07h58 Publié par Koyaan Même si il parait rebutant au premier abord, il parait que le Kawaii Café est très bien lui. Bonne ambiance, bons prix, bon délire. Ca je ne peux que plussoyer. C'est un super bar, bonne ambiance, bon délire. Et le patron est un vrai geek lui aussi 26/07/2012, 08h21 ForumsDiversLa TaverneLe dernier bar avant la fin du monde Un chercheur allemand a réalisé une étude sur l'histoire de la pomme et son évolution. Il montre que les pommiers se sont répandus d'abord grâce à la mégafaune qui les consomme, ensuite par les échanges commerciaux le long de la route de la vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Archéologie l'étude des graines révèle les secrets des civilisations passées La carpologie est l’étude des graines et semences dans un contexte archéologique. Elle permet de reconstituer le type d’agriculture et l’alimentation de populations aujourd’hui disparues. Marie-France Sellami, carpologue au sein de l’Inrap Institut national de recherches archéologiques préventives, nous en parle plus en détail au cours de cette vidéo. La pomme est l'un des fruits les plus consommés au monde et des pommiers sont cultivés en milieu tempéré en de nombreux endroits du globe. Or la pomme est domestiquée depuis des millénaires des preuves archéologiques suggèrent que les Hommes récoltaient des pommes en Europe et en Asie occidentale il y a plus de ans. Mais le processus de domestication du pommier n'est encore pas très bien mieux connaître cette histoire, les scientifiques travaillent sur des données archéologiques, des graines anciennes, mais aussi des données génétiques. Celles-ci ont révélé que les pommes actuelles sont issues d'une hybridation d'au moins quatre types de pommiers sauvages. De plus, la génétique suggère que l'histoire de la pomme est liée à celle de la route de la soie les origines génétiques de la pomme moderne se trouvent à la source de cette route ancienne, au cœur des montagnes de Tien Shan, au cette nouvelle étude, Robert Spengler, un chercheur de l'institut Max Planck à Jena Allemagne, a reconstitué l'histoire de la pomme. Il s'est intéressé à la façon dont les pommes ont évolué vers de gros fruits, dans la nature, avant leur domestication par l' pommier Malus domestica appartient à la famille des rosacées, des plantes qui font souvent de petits fruits comme la cerise ou la framboise. Ces petits fruits sont consommés par des oiseaux qui dispersent ensuite leurs graines. Mais, dans la famille des rosacées, se trouvent aussi les pommes, les poires, les pêches, les coings des fruits bien plus gros. La génétique nous apprend que ces gros fruits ont évolué il y a des millions d'années, bien avant leur domestication par l' pommiers se développent le long de la route de la soieGlobalement, le fait de produire de gros fruits est une adaptation pour attirer de gros animaux, comme des chevaux sauvages, des cerfs, qui mangent ces fruits et dispersent leurs graines, les pépins, dans l'environnement. Ensuite, les Hommes ont développé la culture du pommier le long de la route de la soie, grâce aux échanges commerciaux. Comme l'explique le communiqué de l’institut Max Planck, les populations de pommiers sauvages ont été isolées après la fin de la dernière période glaciaire, jusqu'à ce que les Hommes commencent à transporter les fruits à travers l'Eurasie, en particulier le long de la route de la soie. Une fois que les humains eurent mis ces lignées d'arbres en contact, les abeilles et d'autres pollinisateurs effectuèrent le reste du travail. »Les hybridations entre les arbres ont permis d'obtenir de plus gros fruits qui ont été sélectionnés par les humains. Ceux-ci se sont servis de la greffe pour fixer cette caractéristique sur des arbres en place. L'hybridation et la greffe ont permis le développement des différentes variétés de pommes actuelles. En réalité, le pommier n'est pas totalement domestiqué si on plante un pépin de pomme, un pommier sauvage pousse...Le saviez-vous ?La greffe consiste à coller » un greffon ici un pommier sur un porte-greffe, un arbre plus robuste et adapté au sol et au climat. La greffe est souvent utilisée pour multiplier des arbres fruitiers, des rosiers, mais aussi la processus de domestication de la pomme ne sont pas forcément les mêmes que ceux utilisés pour d'autres espèces cultivées, comme les céréales. Robert Spengler explique Lorsque nous étudions la domestication des plantes, il est important que nous examinions les herbes annuelles passées, telles que le blé et le riz. Il existe des centaines d'autres plantes domestiquées sur la Planète, dont beaucoup ont emprunté différentes voies vers la domestication. »Cette étude paraît dans la revue Frontiers in Plant qu'il faut retenirLa domestication de la pomme a eu lieu il y a plus de arbres ont d’abord évolué dans la nature pour donner de gros fruits, consommés par de gros les humains ont propagé la culture du pommier le long de la route de la pomme moderne est issue d’hybridations entre différents par ce que vous venez de lire ? Vous qui portez la barbe depuis un bon bout de temps, ou qui souhaitez la porter, vous vous êtes peut-être un jour posé la question Mais finalement, quelle est l’histoire de la barbe ? » Et vous avez raison de vous la poser d’ailleurs. Parce que quand on porte un nouvel habit, qu’on revêt de nouvelles chaussures ou qu’on achète un nouveau téléphone, on aime bien savoir d’où tout cela vient. L’homme est curieux, l’homme aime découvrir de nouvelles choses. Alors quand ça parle de notre histoire, c’est le pic de l’appétence ! Donc je me suis dit, pourquoi ne pas partir un peu à la recherche de cette fameuse barbe que l’on aime tant ? Et pourquoi ne pas essayer de comprendre un peu d’où elle vient ? Du coup, je vous ai préparé une petite infographie, elle-même inspirée d’une infographie que j’ai trouvé en anglais sur l’histoire de la barbe. Bon après voilà, c’est assez bref. Et je pense que vous comprendrez qu’il est quasiment impossible de remettre la main sur tous les poils faciaux de nos ancêtres… Mais au moins, vous aurez quelques éléments-clés sous la dent. En plus de cette infographie, je vous laisse aussi découvrir plus en détail son histoire de manière écrite. Période de l’Égypte ancienne Quand les hommes ont-ils véritablement laissé pousser leur barbe pour la première fois ? Difficile d’y répondre, même si cela existait déjà probablement depuis le début de l’humanité. Cependant, on commence notre voyage avec les hommes barbus de l’Égypte ancienne, période allant de 3100 à 322 avant JC. À cette époque, c’est chez les égyptiens de la classe supérieure » que l’on retrouvait des barbes élaborées. Souvent, ils teignaient leur barbe et l’entrelaçaient avec du fil d’or… rien que ça ! Pendant la période dynastique cependant, les cheveux étaient considérés comme un signe de classe inférieure, de tendance animale. Du coup, on peut dire que l’opération était plutôt drastique puisque beaucoup d’hommes n’hésitaient pas à enlever TOUS les poils de leurs corps, même les cils ! Vous vous imaginez guy’s, sans barbe, sans cils, sans cheveux ? Euh… Comment dire… L’histoire de la barbe peut parfois nous réserver quelques surprises, hein ? Période mésopotamienne Toujours à peu près dans la même période, entre 3100 et 539 avant JC, les mésopotamiens portaient eux aussi la barbe. Les hommes passaient énormément de temps à boucler et à garder leur barbe pleine. Hé oui, à cette époque là déjà, la barbe était chouchoutée ! Plutôt pas mal, non ? La longueur et le style de la barbe reflétaient la classe et le pouvoir. Plus la barbe était longue, plus le statut dans la société était supérieur. Période de la Grèce ancienne Pour les grecs anciens 800 – 500 avant JC quant à eux, très connus pour leurs fameuses mythologies, la barbe était un signe de virilité, de courage et de sagesse. Cependant, il faut savoir que certains hommes pouvaient couper leur barbe en signe de deuil, ou encore en guise de punition pour les Spartiates. Alexandre le Grand lui, aurait interdit à ses soldats de porter la barbe pour des raisons tactiques militaires. Périodes des tribaux germaniques L’histoire de la barbe, ça peut aussi être d’autres significations, parfois un peu bizarres comme celles des tribaux germaniques, ayant vécus approximativement entre 2000 avant JC et l’an 700. En effet, ils portaient la barbe. Seulement voilà, ils ne la rasaient pas avant d’avoir tué un ennemi ou d’avoir vengé une défaite… Donc en gros, une fois que la bataille était terminée, hop, plus de poils faciaux … Du coup, je me pose une question, là, tout de suite, maintenant Mais pourquoi ? », Vous êtes intermittents du spectacle ou quoi les gars ? » … Période de la vieille Europe Entre 330 et 1750, la barbe était aussi présente lors de l’époque européenne. Pendant cette très longue période, les chevaliers aimaient garder leur barbe en signe de masculinité ah, ça on aime! mais aussi d’honneur. Le hic, c’est qu’elle n’était pas forcément appréciée par tout le monde… Mais bon… Le pire dans tout ça, c’est que le roi Henri 8 avait fait de la barbe une infraction taxable, alors que lui-même l’avait porté tout au long de sa vie. Genre moi je suis le roi, et vous… Bref, on peut parler de culot quand même, vous ne trouvez pas ? Période des soldats américains L’histoire de la barbe, ça passe aussi et forcément par des périodes où on ne pouvait justement pas la revêtir. Et c’est le cas des soldats américains, en temps de guerre, entre 1914 et les années 60. Ils avaient interdiction de la porter car elle pouvait brouiller les masques des soldats. Cela a même conduit à un déclin du port de la barbe qui s’est étendu jusqu’à la deuxième guerre mondiale. Du coup dans les années 50 et 60, les beatniks et les hippies ont refait vivre le port de la barbe en l’adoptant, en signe de contre-culture. Elle a même connu un pic de popularité à la fin des années 60 lorsque les Beatles l’adoptèrent. Période moderne actuelle Vous connaissez certainement le championnat du monde de la barbe et de la moustache, n’est-ce pas ? Mais si, vous savez ce concours extraverti où vous pouvez voir des barbes et moustaches hyper farfelues ! Hé bien, c’est en 1990 qu’il a vu le jour. Et c’est lors de cette même année qu’a commencé la période moderne actuelle 1990 jusqu’à aujourd’hui. D’ailleurs, son succès s’est vu grandir ces dernières années, justement grâce à cette fameuse mode » du port de la barbe. Bon, j’aime pas parler de mode », car pour moi porter la barbe est un véritable mode de vie, un signe de masculinité tout ça… Mais vous avez compris où je veux en venir. La barbe étant même tellement prisée par certains, qu’ils seraient prêts à débourser quelques sept mille euros pour s’en faire transplanter une… Quoi qu’il en soit, et peu importe de quelle époque elle vienne, la barbe a toujours été apprécié par certains hommes pas tous, on est d’accord. Je sais que ce n’est pas facile de la porter chaque jour guy’s, surtout au travail où même certains peuvent s’en moquer, mais accrochez-vous, et dites-vous que les véritables hommes, c’est vous ! Crédits Calciomio vous emmène au cœur de la saison 1999-2000. A un moment où la Serie A était sans contestation le meilleur championnat du monde, la Lazio réussit l’exploit de gagner le Scudetto au nez et à la barbe de la Juventus, au bout de la plus folle dernière journée que le calcio ait jamais vécu. Un effectif de classe mondiale Aujourd’hui, la Lazio est la dernière équipe à réellement disputer le Scudetto à la Juventus, et continuera certainement à le faire si d’avenir le championnat reprend. Il y a 20 ans, l’effectif de la Lazio était bien meilleur Boksic, Salas, Mancini, Mihajlovic, Nesta, Simeone, Lombardo, Nedved, Inzaghi, Veron, Almeyda, Ravanelli… tous les postes étaient occupés par des fuoriclasse. À la Lazio depuis 1997, l’entraîneur suédois Sven-Gorän Eriksson construit patiemment une équipe capable de rivaliser avec les meilleurs, alors que les tifosi attentent un Scudetto depuis 1974. Avec une finale en coupe de l’UEFA, une Coppa Italia et deux Supercoupes d’Italie et d’Europe, il va sans dire que les deux premières saisons d’Eriksson sont fructueuses, et Sergio Cragnotti, président de la Lazio, lui fait confiance. À l’aube de la saison 1999-2000, les analystes comme les supporters s’entendent donc pour dire qu’outre la Juventus, l’Inter, le Milan AC et Parma, la Lazio est un sérieux prétendant à la Serie A. Les laziale trouvent ont une motivation supplémentaire, eux qui ont perdu le Scudetto 1999 au Milan AC pour un misérable point. Un début de saison au presque parfait Après une Supercoupe d’Europe gagnée contre Manchester United, à la fin de laquelle Sir Alex Ferguson dira, de manière prémonitoire, que la Lazio gagnera la Serie A, la Lazio attaque le championnat par une série de 6 victoires et 3 nuls. Ce n’est qu’à la dixième journée que le club laisse filer trois points, au bout d’une humiliante défaite 4-1 dans le derby romain. Ce début de saison est toutefois entaché par un mauvais comportement des tifosi laziale, qui présentent une banderole à la gloire d’un criminel de guerre serbe contre Bari, et qui profèrent des insultes racistes à l’encontre de Thuram lors de la réception de Parma. Après un hiver en demi-teinte, la Lazio perd ses espoirs de titre Entre la défaite contre l’AS Roma à la fin novembre 1999 et celle contre l’Hellas à la fin mars 2000, la Lazio peine à trouver une régularité de champion. Engagée dans une belle campagne européenne le club sortira en quarts et une aussi belle odyssée en Coppa que le club gagnera, l’équipe d’Eriksson laisse filer d’inexplicables points contre la Reggina et Cagliari, s’enlise contre Parma et l’Inter deux autres nuls, et perd contre Venezia et le Milan AC. Ce n’est pourtant faute de joueurs qui carburent. Salas finira la saison avec 12 buts, tandis que Simone Inzaghi signera 19 réalisations toutes compétitions confondues. Derrière eux, Nedved, Almeyda, Veron et Simeone forment un milieu très complémentaire, tandis que Mihajlovic et Nesta ferment les vannes en défense. A la fin du mois de mars 2000, après une 4ème défaite contre l’Hellas, les laziale sont à 9 points de la Juventus. Si tout semble perdu pour la Lazio, c’est sans compter l’incroyable concours de circonstances, entre une Juventus soudainement fébrile et une dernière journée folle, qui donnera au club un Scudetto inattendu et inespéré. La plus incroyable fin de saison de l’histoire du calcio 19 mars 2000. Sans le savoir, la Lazio vient d’enregistrer sa dernière défaite de la saison. Le prochain adversaire, l’AS Roma, se présente fort de l’avantage psychologique du match aller. La veille, la Juventus a perdu contre le Milan AC. Le lendemain, les laziale attaquent le derby par le mauvais bout, et se retrouvent menés suite à but rapide de Montella. Rapidement, Nedved puis Veron répondent à l’aeroplanino et permettent à la Lazio de mener 2-1, avantage qu’elle ne lâchera plus. Désormais à six points de la Juventus, l’espoir renaît chez les hommes d’Eriksson. Le prochain adversaire ? Rien de plus que la Juventus à l’extérieur… Revigorée, la Lazio se rend au Delle Alpi la ferme volonté de disputer le titre jusqu’au bout. Ce sera chose faite avec une belle victoire 1-0. La suite est folle. Alors qu’elle n’avait perdu qu’un seul match avant ses deux défaites d’affilée contre le Milan AC et la Lazio, la Juventus devient frileuse et perd à nouveau lors de la 32ème journée, face à l’Hellas. La Vieille Dame voit son avance sur la Lazio fondre, alors que les biancocelesti, après un rocambolesque nul contre la Fiorentina 3-3, avaient redonné à leurs rivaux 5 points d’avance. À la 33ème journée, la Lazio compte deux points de retard sur la Juventus. Tandis que cette dernière s’impose contre Parma, après notamment un but injustement refusé pour Cannavaro, tout indique que les juventini se dirigent vers le titre en vieux briscards. Cragnotti a beau se plaindre, rien n’y fait, et ses ouailles gâchent presque tout contre Bologna victoire 3-2. Arrive la fameuse 34ème et dernière journée. Tandis que la Lazio bat aisément la Reggina 3-0, la Juventus se rend à Perugia, assuré du maintien. Tout indique une victoire tranquille des bianconeri… C’est pourtant tout l’inverse qui se passe. Après une calme première mi-temps, l’arbitre Collina est contraint de retarder la reprise de 80 minutes, la faute à un véritable déluge qui s’abat sur le stade. Lorsque le match reprend, le terrain paraît impraticable. C’est Perugia qui en profite, en maquant à la 50ème minute 1-0. À Rome, les tifosi s’amassent sur la pelouse avec des radios, et les joueurs regardent le match dans les vestiaires. Les secondes passent, et la Juventus reste impuissante. 18h04, l’arbitre siffle trois fois. Victoire de Perugia, désolation chez une Juventus sonnée, consécration pour la Lazio et ses supporters, qui feront la fête la nuit durant, et la referont lorsque, quelques jours plus tard, l’équipe gagnera la Coppa et signera un historique doublé. Aujourd’hui, si le championnat reprend, les laziale auront sûrement en tête cette folle fin de saison en 2000. Et s’ils refaisaient le même coup ? Et si… ? Finale de la Coupe du monde féminine de football. Dimanche 26 août 20XX Friends Arena – Solna, Comté de Stockholm, Suède. ... aussi avant que la fête commence, je voudrais que nous respections cette minute de silence en son honneur. Xanthos, ta disparition laisse un grand vide en nous tous ! Où que tu sois, sache que nous t'aimons. » Juan Flores Jimenez, président de la FMFP Fédération Mondiale de Football Professionnel rend le micro au speaker en même temps que la foule bascule à l'unisson en mode mute. Les uns fermant les paupières. Les autres la main sur le cœur, fixant l'immense portrait de Xavier Xanthopoulos, meilleur joueur mondial, couronné ballon d'or six années de suite et disparu le 4 mai dernier, tandis que l'enceinte toute entière de la Friends Arena résonne de la symphonie désaccordée, fruit des notifications hétéroclites des smartphones laissés nonchalamment allumés. La minute passée, le speaker lance un tonitruant Que les équipes de cette finale fassent leur entrée ! » épaulé par les applaudissements nourris des 50 653 spectateurs, alors que les deux équipes féminines belge et danoise font leur entrée sur le terrain. Les dizaines de caméra braquées sur elles ne tardent pas à déclencher une clameur sourde d'incompréhension dans l'enceinte. Quand résonne enfin Der er et yndigt land, puis La Brabançonne, on sent clairement que les spectateurs ne sont pas vraiment concentrés sur la profondeur des paroles. Les joueuses, elles, entonnent leur hymne avec une ferveur accoutumée, comme si de rien n'était, puis viennent se placer sur le terrain. Personne ne dit rien. Après tout, rien dans le règlement ne l'interdit. Seul l'arbitre principal, au moment de siffler le début du match, ose à demi-rudiments de danois et de flamand, un Qu'est-ce que c'est que cet accoutrement ? » accueilli par un silence froid dont il ignore s'il est la conséquence d'un accent hasardeux. Il y a de quoi d'étonner. Car toutes les joueuses des deux équipes, sans exception, arborent moustaches drues et barbes fournies. Le coup de sifflet retentit enfin, moment que choisissent les joueuses pour s'asseoir simultanément sur l'herbe rase, en tailleur, immobiles. D'autres sifflets fusent bientôt dans les tribunes. Des cris, des vociférations, des rires nerveux, face à l'immobilisme des finalistes que rien ne semble altérer. Juan Flores Jimenez accourt bientôt à grandes enjambées dans le rond central, suivi par une dizaine d'officiels, et vient s'en prendre aux deux capitaines. – Bon sang ! Qu'est-ce que c'est que ce cirque ? – Nous protestons, rétorque Amélie Van Eyken. – Je le vois bien ! Mais pourquoi ?! – Nous ne sommes pas à notre place ici. – Et pourquoi donc ? – Et bien parce que nous sommes des hommes ! répond de façon toute naturelle Filippa Nielsen. – Qu'est-ce que c'est que ces idioties ? Bientôt les clameurs amplifiées par l'acoustique de l'Arena empêchent tout dialogue, et Jimenez fait signe aux deux capitaines de le rejoindre hors du terrain. La délégation regagne le chemin des vestiaires sous des huées nourries, mais bifurque en direction d'un petit bureau en bordure de tribunes. Les protestations sourdes du public laissent la place à un silence feutré. – Vous êtes folles ! – Ne soyez pas insultant, Président, dit une Amélie barbue. – Nous sommes des hommes à présent, répète Filippa de sa bouche surmontée de bacchantes jaune paille. – Il va falloir vous expliquer ! répond JFJ, passablement agacé. – Aujourd'hui, en 20XX, nous avons rattrapé en près de cinquante ans les inégalités que nos sociétés avaient mis des siècles à construire dans nos pays respectifs, et à ériger en remparts insurmontables entre hommes et femmes. Égalité de droits de vote, égalité salariale, égalité d'accès aux postes à responsabilités et j'en passe... – Qu'est-ce que ça à voir avec le football ? Vous avez même votre coupe du Monde depuis 1991 ! – C'est précisément le mot votre » qui nous pose problème. Et qui soulève ce problème éloquent. – Puisque nous sommes les égales des hommes, pourquoi faut-il justement que nous disputions des compétitions différentes ? – Étant donné que nous sommes leurs égales, nous arborons aujourd'hui des mentons et des joues poilues, puisque c'est apparemment la dernière condition sine qua non pour que nous intégrions les équipes des hommes. Et puisque nous sommes des hommes, nous n'avons rien à faire dans des compétitions féminines. – Brigueriez-vous un mandat politique par hasard, Mademoiselle Van Eyken ? – Pourquoi donc ? – Parce qu'il n'y a que des politiques pour avancer de telles idées ! Des équipes mixtes ! C'est purement idéaliste ! – Et pourquoi donc ? – Et bien, à commencer par vos constitutions physiques ! – Ah, le bel argument ! Ah, la jolie rengaine ! Le sexe faible incompatible avec le sexe fort ! Vous connaissez bien sûr ma coéquipière Elke Crommelynck, Président ? – Évidemment. – Et Tini Avidsen. Et Martina Vestergaard. Et Kirsten Friis. Adolescentes, elles ont toutes hésité entre le rugby et le football. Que resterait-il des 73 kg d'Mbappé, des 67 kg de Messi, des 68 kg de Neymar face à leurs carrures ? Pourtant toutes et tous figurent parmi les meilleurs footballeurs mondiaux, dit Amélie. – Et osez dire que nous ne sommes pas au niveau des hommes ! ajoute Filippa. – Ce n'est pas ça. C'est plus compliqué... – Ah ! Compliqué » ! Et on dit que ce sont les femmes qui le sont ! – Vous savez très bien que les hommes ne sont pas prêts à cela ! – Certains » hommes ne sont pas prêts à cela, corrige Filippa. – Et si certains hommes ne sont pas prêts à cela, qu'est-ce qui vous prouve que toutes les femmes le sont ? – Rien du tout. Beaucoup refusent de jouer avec des hommes pour diverses raisons. Mais osez au moins soulever l'idée d'une troisième compétition mondiale. Une coupe du monde masculine, une coupe du monde féminine, et une coupe du monde mixte ! – Et pourquoi pas une compétition poids plume, poids mouche, poids coq et poids lourd tant que vous y êtes ?! – C'est une idée, répond Filippa. – Xavier Xanthopoulos aurait milité en faveur de compétitions mixtes ! ajoute Amélie – Je vous interdis de parler au nom de Xanthos ! Si vous croyez que sa disparition n'est déjà pas suffisante, et que je n'ai pas autre chose à penser ! – Xanthos nous aurait appuyées ! C'est peut-être cela qu'il aurait fallu quelqu'un qui pèse dans le débat ! Ah, Xanthos, on lui aurait tout passé ! On lui aurait dit amen à tout ! Seulement nous n'avons pas sa popularité, ni son poids auprès des sponsors ! – ET BIEN OUI, VOILA ! admet JFJ. Qu'est-ce que vous voulez que j'y fasse ?! Le monde est comme ça ! Le jour où une femme affichera le palmarès et l'attention médiatique d'un Xavier Xanthopoulos, peut-être que le monde changera. Peut-être que les regards seront différents quand une footballeuse aux performances jamais vues comblera le vide laissé par Xanthos. Pour l'heure, – excusez-moi – mais celle-ci n'est pas encore née ! – Ce n'est qu'une question de volonté, se radoucit Amélie. Ces femmes existent déjà. Simplement, le monde n'est pas encore prêt. – Sans doute, mesdemoiselles. Sans doute. Ce n'est pas moi qui fait le monde. Soudain, un tintement résonne dans le silence retrouvé du bureau. Une notification, issue de la poche intérieure de Jimenez. Il se saisit du terminal, comme près de deux tiers des spectateurs le font du leur, au dehors. ALERTE INFO après une disparition de près de quatre mois, l'attaquant grec Xavier Xanthopoulos est vivant... et revient sous les traits d'une femme. Je veux que mon exemple serve la cause de millions d'hommes et de femmes dans le monde » avoue-t-il. Ayant subi de multiples opérations dans une clinique américaine, la désormais Yolanda Xanthopoulos... suite * Dimanche 13 septembre 20XX Stade de Winnipeg, Canada. Finale de la Coupe du monde mixte de football – Belgique/Grèce Le coup d'envoi est proche. Amélie Van Eyken plonge les yeux dans ceux de Yolanda Xanthopoulos. Au delà de la tension, les deux femmes se sourient.

la dernière barbe avant la fin du monde